DEVILLE, Etienne : Autour du Ve centenaire de Jeanne d'Arc : La Découverte du corps de Pierre Cauchon dans la Cathédrale de Lisieux.- Extrait du Journal de Rouen du Samedi 9 Mai 1931.- Rouen : Imprimerie commerciale du Journal de Rouen, 1931.- 16 p. : ill. ; 18 cm.
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La Découverte du corps de Pierre Cauchon dans la Cathédrale de Lisieux
par
Etienne Deville
 

Parmi la longue suite de prélats qui occupèrent successivement le siège épiscopal de Lisieux, il n'en est pas de plus tristement célèbre que Pierre Cauchon, dont le nom demeure attaché à l'inique condamnation de Jeanne d'Arc.

Le père Brice dit que Cauchon fut fait évêque de Lisieux, à la place de Zanon de Castiglione, par le pape Martin V, dès le 4 des calendes de février (29 janvier) 1431 (nouveau style), mais les archives du Vatican, explorées par le P. Denifle, permettent de préciser la date du 13 février et la confirmation par le pape Eugène IV, le 8 août 1432.

Durant son épiscopat, il fit construire la chapelle Notre-Dame de la cathédrale de Lisieux, qu'une tradition dit avoir été édifiée en repentir du jugement rendu contre Jeanne d'Arc. (1)

Pierre Cauchon n'assista pas au désastre final des Anglais. Il mourut à Rouen, en son "hôtel de Lisieux" , proche Saint-Cande, sept ans avant l'entrée triomphale de Charles VII, le 18 décembre 1442. D'après le témoignage du notaire Guillaume Colles, dit Boisguillaume, il mourut subitement pendant qu'on lui faisait la barbe. (2)

On transporta sa dépouille mortelle à Lisieux, où il fut inhumé. Ce fut l'occasion de cérémonies qui revêtirent quelque solennité. A Rouen, les chanoines et les chapelains de la cathédrale s'assemblèrent et se rendirent, en procession, à son église Saint-Cande, voisine de la porte du Bac, d'où ils suivirent le convoi jusqu'à la Seine. (3)

A Lisieux, les honneurs accoutumés furent rendus à l'évêque-comte, et M. de Formeville (4) dit qu'on conservait encore à Lisieux la dépense qui fut faite pour son inhumation.

Nous connaissons exactement l'emplacement de la sépulture de Pierre Cauchon : dans la chapelle Notre-Dame, à gauche, près de l'autel, du côté de l'Evangile. (5) Son tombeau comportait un soubassement en marbre noir, supportant sa statue couchée en marbre blanc, le tout surmonté d'un dais en pierre de Caen et entouré d'une grille de fer très solide. (6)

Ce tombeau subsista dans son état primitif, jusqu'en 1705. Gaignières en fit faire, par Barthélemy Rémy ou par Louis Bondan, deux hommes qui travaillaient ordinairement pour le célèbre collectionneur (7), un dessin de la statue tombale, plusieurs fois publié, qui a servi de thème à une attribution erronée d'une statue mutilée qui se voit encore aujourd'hui dans le croisillon nord de la cathédrale de Lisieux. (8)

Peiresc dut également voir ce tombeau ; malheureusement dans ses notes, publiées par M. Schopper (9), il ne parle pas du tombeau de Cauchon, se contentant de signaler celui d'Antoine Raguier, qui se trouvait en face. Dingremont et Louis Du Bois se sont trompés en plaçant le tombeau de Cauchon "près le grand autel du côté de l'Evangile" (10).

Au mois de décembre 1705, lisons-nous dans un curieux Mémorial de ce qui s'est passé de plus remarquable dans la ville de Lisieux depuis l'an 1676 jusqu'en 1717, "on a réparé l'autel de la chapelle Notre-Dame dans la cathédrale de Lisieux, ce qui obligea d'ôter encore une ancienne et mémorable antiquité de cette chapelle : c'était le tombeau de Me Pierre Cauchon, évêque de Beauvais et puis de Lisieux, inhumé dans cette chapelle, comme ayant fait faire la dépense pour l'augmentation d'icelle. Ce tombeau était orné d'une voûte de pierre de Caen qui le couvrait et d'une grille de fer très solide. De tout cecy, il n'est resté que le seul tombeau en l'état qu'on le voit encore à présent". (11)

La statue tombale et son soubassement en marbre noir durent rester en place, au moins jusqu'en 1754, puique Noël Deshays, qui écrivait en cette même année, signale encore leur présence.

En 1783, le corps de Mgr de Condorcet fut déposé au-dessus de celui de Pierre Cauchon, et non dans son caveau, ainsi que l'a écrit M. Lahaye (12). Nous en avons la preuve par la disposition même du caveau, dont je parlerai bientôt.

Pendant la Révolution, en 1793, le corps de Condorcet fut porté au cimetière du Champ-Remouleux, mais aucun texte ne parle de celui de Cauchon. Qu'était-il devenu ?

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Avant d'aborder cette question, il convient de citer les témoignages d'historiens mal renseignés ou incomplètement documentés. Louvet, historien de Beauvais, rapporte bien à tort que les ossements de Cauchon furent tirés de l'église de Saint-Pierre-en-Vallée, où il avait été enterré et jetés à la voirie (13). Cette dernière assertion a été reprise par G. Hanotaux qui dit que "les cendres de Cauchon furent dispersées en 1793" (14). A. Sarrazin, l'historien de Cauchon, n'ajoute aucune foi à cette tradition, pas plus qu'au récit de l'excommunication de l'évêque par le pape Calixte III, à raison de son rôle dans le procès de la Pucelle. (15)

La sépulture de Cauchon ne fut l'objet d'aucune recherche de la part de nos historiens locaux. En 1917, M. Lahaye écrivait : "Pendant la Révolution, en 1793, le corps de Condorcet fut porté au cimetière... Qui sait ? Les violateurs n'eurent peut-être pas l'idée d'aller au-dessous du corps de Mgr de Condorcet. Si Pierre Cauchon y est resté, ils l'y ont peut-être laissé et alors il y reposerait encore aujourd'hui. Une petite fouille pourrait nous renseigner (16).

C'était l'expression de la sagesse et de la vérité ; pourquoi l'auteur n'a-t-il pas persévéré dans cette voie et fait cette petite fouille qui l'aurait tout de suite renseigné ?

Deux ans plus tard, le 8 septembre 1919, la Société historique de Lisieux entreprit une fouille dans le premier enfeu du croisillon nord. Le regretté Jean Lesquier, alors président de la Société, dans le compte rendu des résultats obtenus, fait à la séance du 21 octobre, déclara qu'on y avait trouvé "des restes de squelettes en désordre" (17). Ce fut pourtant cette découverte qui conduisit M. Lahaye à émettre l'hypothèse la plus invraisemblable.

Six ans plus tard, publiant l'Extrait d'une conférence faite sur les tombeaux de la Cathédrale de Lisieux, le même auteur ne craignit pas d'affirmer que la disparition des restes de Pierre "s'explique par leur transfert dans le premier enfeu du croisillon nord. Nous rappelons en effet, qu'en 1918 (lisez 1919)), une fouille fut entreprise dans cet enfeu ; on y trouva des ossements pêle-mêle, dont le rassemblement constituait un squelette humain presque entier et aussi quelques morceaux de marbre blanc sculptés se rapportant à la statue [qui se voit encore dans le croisillon nord]. Il est rationnel de penser que ce squelette et ces morceaux de marbre se rapportaient à un même personnage. Alors les ossements de l'enfeu précité doivent être ceux de Pierre Cauchon. Il ressort en outre de cette démonstration que les ossements de Pierre Cauchon et l'emplacement qu'ils occupent aujourd'hui se trouvent reconnus.Pendant la fouille, ces ossements furent rassemblés et étalés sur le sol, avant d'être remis dans l'enfeu ; nous les avons observés : ils étaient grêles, ni grands, ni forts, et semblaient provenir d'un homme de faible complexion" (18).

On ne saurait affirmer avec plus de légèreté !

J'étais moi-même présent à cette fouille, et je me souviens très bien de quelques ossements que nous avons retrouvés. Lors de la publication du Bulletin de la Société historique, je protestai contre la prétendue attribution faite aussi gratuitement par notre concitoyen (19) et les choses en restèrent là.

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Je ne désespérais pas de revoir quelque jour la question reprise. Pour moi, Cauchon pouvait très bien se trouver encore à l'endroit où les chanoines de Lisieux l'avaient déposé au mois de décembre 1442. Le corps de Mgr de Condorcet, porté à la fosse commune par les révolutionnaires de 1793, avait pu faire oublier celui de Cauchon qui reposait au-dessous. Reprenant l'idée émise en 1917 par M. Lahaye, la pensée d'une fouille dans la troisième travée nord de la chapelle Notre-Dame, me hanta bien souvent. Elle se fit plus vivace dans mon esprit en cette année 1931, où la ville de Rouen se prépare à commémorer, par des fêtes grandioses, l'héroïne et la martyre du 30 mai 1431. Je fis part de mon projet à un jeune professeur du collège de Lisieux, M. Pierre Marie-Cardine, un amateur et un travailleur enthousiaste de notre histoire locale et il fut décidé de le mettre à exécution.

Ayant obtenu les autorisations nécessaires, le travail de recherche fut effectué le samedi 25 avril dernier.

A neuf heures du matin, se trouvaient réunis, dans la chapelle Notre-Dame de la Cathédrale de Lisieux, à l'endroit précis indiqué par les textes cités plus haut, MM. le chanoine Hugonin, archiprêtre de la cathédrale ; l'abbé Cocault, vicaire ; Delatour, architecte des monuments historiques ; Georges Huard, archiviste paléographe, membre de la Société des Antiquaires de France ; Anzemberger, commissaire de police ; le baron de Moidrey, vice-président de la Société des Amis des Arts de Lisieux ; Boit, principal du collège ; P. Marie-Cardine, professeur ; Mlle Prestavoine, directrice de l'école Michelet ; Guigné, directeur de l'école Jules-Ferry ; F. Anne, receveur municipal ; Jean Bertot, rédacteur en chef du Lexovien ; J. Mauger, maître de chapelle ; A. Goupil, photographe ; Pellerin, père et fils, d'Orbec ; A. Morin, secrétaire adjoint du Comité de la Croix-Rouge et Etienne Deville, président de la Société des Amis des Arts.

[p. 12 de la brochure originale : photo Goupil : La Crosse de Pierre Cauchon]

L'enlèvement du dallage, formé de grosses pierres de liais d'environ dix centimètres d'épaisseur, ne se fit pas sans quelque difficulté. Au bout d'une heure environ, la partie suffisante du dallage étant enlevée, les travaux de recherche proprement dits commencèrent et furent très rapidement couronnés de succès. Au-dessous du dallage, nous avons trouvé un remblai de sable, de moellons, de briques et mêmes deux fragments de marbre noir, provenant peut-être du soubassement du mausolée détruit. Tous ces décombres recouvraient une voûte en blocage, qui fut facilement démolie. Par le trou béant, nous aperçumes aussitôt le cercueil de plomb au fond du caveau.

Le caveau, en pierre de la région grossièrement appareillée, les pierres portant encore des chiffres romains d'assemblage, est long de 2 m.25. Sa largeur, à la tête, est de 0 m.80 et aux pieds, de 0 m.65 ; sa hauteur sous clef de voûte en berceau plein cintre, de 1 m.45. Le mur nord du caveau est en retrait de 15 cent. sous le banc de pierre du mur de la chapelle. Dans le fond, scellées dans les murs à 22 cent. du sol, trois barres de fer sur lesquelles était posé le cercueil de plomb.

Un des ouvriers étant descendu dans le caveau trouva, posée sur le cercueil, une crosse en ivoire ou en os, richement décorée d'ornements et de personnages peints et dorés. Cette crosse, que je me propose d'étudier et de décrire bientôt, était en fragments, les tenons intérieurs ayant été à peu près anéantis. Nous en avons recueilli à peu près tous les morceaux, exactement 49, ce qui nous a permis de la reconstituer et de la photographier. La présence de cette crosse sur le cercueil (et non à l'intérieur) s'explique par le fait que Cauchon ne mourut pas à Lisieux. Le coffre de plomb était orienté ouest-est, la tête non loin du faisceau de colonnes portant, dans le chapiteau, les armoiries de Pierre Cauchon.

Le cercueil de plomb fut ensuite tiré hors du caveau et placé dans la chapelle où notre ami Georges Huard procéda à son examen. C'est un coffre très simple, sans aucun ornement ni signe extérieur, portant à la tête et aux pieds des ligatures plates en fer de 6 millim. d'épaisseur et 50 millim. de hauteur. Les dimensions du cercueil sont les suivantes : longueur, 1 m.85 ; largeur, à la tête, 0 m.55, aux pieds, 0 m.39 ; hauteur à la tête, 0 m.47 ; aux pieds, 0 m.29. Huit poignées de fer, trois de chaque côté et une à chaque extrémité, aidaient à le porter. La poignée de la tête est beaucoup plus grande que les autres, vingt et un centimètres de large, tandis que la largeur moyenne ne dépasse pas seize centimètres.

Le cercueil de plomb ayant été ouvert, le squelette entier de Cauchon nous apparut dans son intégrité. Il était couché sur le dos, les bras croisés sur la poitrine, la tête légèrement inclinée à gauche. Une partie du corps était recouverte par les planches du cercueil de chêne dans lequel le prélat avait été déposé. Ce cercueil était en grande partie consommé et avait, par suite de ce travail, donné une teinte brune à l'ensemble du squelette. Ce dernier mesure 1 m.68 de l'extrémité des pieds au sommet du crâne, assez fort, et portant encore de nombreux cheveux encore adhérents dans sa partie inférieure. Les dents étaient très usées. Aucune trace de vêtements n'a été constatée, ce qui permet de supposer que le corps a été enfermé nu, peut-être après embaumement, dans le cercueil, enveloppé dans un suaire qui a complètement disparu. Nous avons retrouvé son anneau pastoral, très simple, en argent, orné d'une pierre violette, dessertie de l'anneau, mais que nous avons recueillie dans les débris.

Après examen minutieux du contenu du cercueil, nous avons replacé les ossements dans un petit cercueil de chêne sur lequel le commissaire de police apposa son sceau dès qu'il fut refermé. Avec les ossements, nous avons déposé, dans un tube de verre, hermétiquement clos par les soins de M. Boit, un parchemin sur lequel est écrit :

L'an mil neuf cent trente et un, le samedi 25 avril, la Société des Amis des Arts de Lisieux a procédé à l'exhumation et à l'identification des restes mortels de Pierre Cauchon, évêque et comte de Lisieux, mort à Rouen et inhumé dans cette chapelle en l'an 1442, en présence des soussignés : Etienne Deville, Chanoine Hugonin, Pierre Marie-Cardine, Dr Degrenne, Boit, Pellerin et Anzemberger, commissaire de police.

Ce cercueil fut ensuite placé dans le coffre de plomb et le tout replacé dans le caveau, qui fut ensuite refermé et le dallage remis en son état primitif. Tout ce travail était terminé à 8 heures du soir.

Il convient de rendre hommage au personnel de la maison Tessier, de Lisieux, qui exécuta cette fouille et remit tout en état avec beaucoup de soin.

Reste maintenant à apposer une inscription sur ce tombeau, pour rappeler aux nombreux touristes qui visitent notre cathédrale, que Pierre Cauchon, évêque et comte de Lisieux, repose toujours dans la chapelle qu'il fit "construire et édifier entièrement à ses dépens" et qu'il avait richement dotée pour y "prier Dieu, la Vierge, les saints et saintes du Paradis", selon le texte même de son testament.

Etienne DEVILLE.
 
Notes :

(1) Poenitentia ductus sententiae mortis quam contra Joannam puellam Aurelianensem duxerat. (Ms. du XVIIIe siècle, vers 1730, oeuvre d'un curé de Beuvron-en-Auge, cité par Engelhard. Pierre Cauchon, son prétendu repentir. Le Havre, 1906, p. 11 ; V. Lahaye, La chapelle Notre-Dame, dans abbé V. Hardy. La cathédrale Saint-Pierre de Lisieux, 1917, p. 94.

(2) Episcopus mortuus est subito, faciendo fieri barbam suam. Quicherat. Procès, t. III, p. 165 - Obiit 18 decembris 1442 dum ei barba tonderetur, quod lepido carmine cecinit Valeranus in poemate Johannae d'Arc. Gallia Christ. t. XI, col. 794.

(3) A Sarrazzin, Pierre Cauchon, 1901, p. 227.

(4) Hist. de l'évêché-comté de Lisieux, t. II, p. 182

(5) Tumulatus est Lexovii in oede cathedralis S. Petri prope altare a latere evangelii... sacellum B.-M. Virginis. Gallia Christ. t. XI, col. 794. - Du Carel, Antiquités anglo-normandes, traduction Léchaudé d'Anisy, Caen, 1825, p. 75 ; - Noël Deshays, Mémoires pour servir à l'Histoire des évêques de Lisieux, dans Formeville, Hist. de l'évêché-comté de Lisieux, 1873. t. II, p. 181 ; - Sarrazin, Pierre Cauchon p. 229 ; - Engelhard, Loc. cit., p. 7, note 1 ; - F. de Richemont, Jeanne d'Arc, 1912, p. 514 ; V. Lahaye, La chapelle Notre-Dame, 1914, p. 12 ; - Bull. de la soc. hist. de Lisieux, n 25, p. 35. - Etudes lexoviennes, t. III, p. 174.

(6) Mémorial... dans Bull. soc. hist. de Lisieux, n 6, p. 25.

(7) Voir Gazette des Beaux-Arts, 1870, p. 470.

(8) Etudes lexoviennes, t. III, p. 175-177.

(9) L'Art du Moyen Age, la Renaissance néo-classique et les travaux de Peiresc, dans Bulletin archéologique, 1899, p. 367.

(10) Mémoires sur Lisieux, vers 1819, p. 122 ; - Hist. de Lisieux, t. 1. p. 423.

(11) Bull. soc. hist. de Lisieux, 1875, n 6, p. 25-26.

(12) La Chapelle Notre-Dame, p. 12.

(13) Cité dans Sarrazin. Pierre Cauchon, p. 231, note 1.

(14) Jeanne d'Arc, 1911, p. 278, note 1.

(15) Jeanne d'Arc et la Normandie au XVe siècle, 1896, p. 217 et Pierre Cauchon, p. 230.

(16) V. Lahaye. Notice sur la chapelle Notre-Dame, dans abbé Hardy. La cathédrale Saint-Pierre de Lisieux, p. 100.

(17) Bull. soc. hist. de Lisieux, n 24, p. 35.

(18) V. Lahaye, dans Bull. soc. hist. de Lisieux, n 25, p. 37. Le même article se retrouve inséré dans son étude sur Les Tombeaux de la Cathédrale de Lisieux, dans Etudes lexoviennes, t. III, 1928, p. 174.

(19) Les Légendes de l'Histoire. II. Les restes de Pierre Cauchon, dans L'Avenir de Lisieux du 12 décembre 1925.

 
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