ROBILLARD DE BEAUREPAIRE, Eugène de (1827-1899) : Une Maison du XVIe siècle, à décoration extérieure polychrome, à Caen.- Caen : Delesques, 1887.- 18 p. : ill. en front. ; 28 cm.
Saisie du texte : O. Bogros pour la collection électronique de la Médiathèque André Malraux de Lisieux (07.XI.2009)
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  UNE
MAISON DU XVIe SIECLE
A décoration extérieure polychrome
A CAEN
par
Eugène de Robillard de Beaurepaire
Secrétaire général de la Société française d'Archéologie
et de la Société des Antiquaires de Normandie

~*~

Page de titre + planche

MONSIEUR DE LA QUÉRIÈRE a consacré autrefois deux curieux volumes, aujourd'hui fort recherchés, aux anciennes maisons de la ville de Rouen. Les descriptions sont exactes et la valeur des monuments dont elles nous conservent le souvenir, est singulièrement rehaussée par les trente-six planches dessinées par Hyacinthe Langlois et insérées dans l'ouvrage.

Nous l'avouerons sans détour, Caen n'a pas eu le même bonheur ; il renferme cependant un certain nombre d'édifices véritablement intéressants, voués malheureusement pour la plupart, dans un avenir plus ou moins prochain, à une inévitable destruction.

Quelques-uns, il est vrai, ont été l'objet, dans le Bulletin Monumental, d'études piquantes et approfondies de la part de notre savant et regretté confrère Raymond Bordeaux, mais je déplorerai toujours qu'il s'en soit tenu là et n'ait pas publié, avec la collaboration de son ami M. Georges Bouet, une revue générale de toutes ces constructions, infiniment moins mutilées alors qu'elles ne le sont aujourd'hui. L'archéologue et le dessinateur se convenaient à merveille et tous deux se trouvaient dans les meilleures conditions pour comprendre ce travail à ces différents points de vue et pour le conduire à bonne fin.

Parmi ces hôtels et ces maisons de curiosité et d'importance fort inégales dont chaque jour accélère la ruine, il est juste de placer dans une catégorie à part les édifices en bois, dont quelques bons spécimens existent encore à Caen, à Bayeux, à Lisieux et dans les riches vallées des arrondissements de Lisieux et de Pont-l'Évêque.

Pour nous borner à la ville de Caen, indépendamment de constructions moins intéressantes, les Guides signalent toujours avec complaisance aux étrangers, la maison des Quatrans, rue de Geôle, n° 31, les maisons n° 19 et 94 de la rue Saint-Jean, une vieille masure d'aspect sordide et pittoresque de la rue du Ham, les maisons n° 10 et 12 du Montoir-Poissonnerie, 52 et 54 de la rue Saint-Pierre. Quelques-unes ont été dessinées par Bonington, Thorigny, Georges Bouet et par le sympathique et dévoué président de la Société des Beaux-Arts, M. Tesnière. C'est en réparant l'une de ces maisons, celle qui porte le n° 54, dans la rue Saint-Pierre, qu'a eu lieu la découverte d'une décoration extérieure à incrustations multicolores, sur laquelle il ne me parait pas inutile d'appeler un instant l'attention.

Par un bonheur qui arrive trop rarement de nos jours aux vieux monuments, cette maison, sommairement décrite dans l'excellent Guide de Caen de Trebutien, réédité par Le Blanc-Hardel, devint, dans le courant de l'année dernière, la propriété d'un homme intelligent, ayant tout à la fois le respect des choses de l'art et l'amour de sa ville natale, M. Bouet, marchand de tentures d'appartement et de papiers peints.

L'immeuble, fort détérioré, avait un besoin urgent de grandes réparations ; mais, avant de les exécuter, M. Bouet s'entoura des meilleurs conseils, et, en s'interdisant toute innovation, il borna son ambition et ses efforts à une restitution consciencieuse, ayant pour but de rendre à la vieille façade, en dépit des injures du temps et des hommes, son aspect, sa physionomie primitives. L'entreprise était louable, le résultat a dépassé toutes les espérances.

Les travaux commencés dans le courant du mois d'août dernier, sous la direction, du propriétaire, avec le concours d'un sculpteur distingué, M. Douin, ont été achevés à la fin du mois de septembre.

Non seulement on a pu reconstituer la forme des anciennes ouvertures, dégager un poitrail délicatement sculpté, étudier des armoiries qui n'avaient pas été signalées, mais encore, et c'est là le point le plus important, on a ramené au jour une décoration polychrome parfaitement conservée, qui occupe, sauf quelques lacunes, toute l'étendue de la façade et qui produit à l'œil l'effet le plus réjouissant.

Il y a plus de trente ans, au moment où il dessinait cette maison, déjà reproduite par Bonington, M. G. Bouet avait remarqué, sous le badigeon, quelques traces d'enduits colorés, et c'est cette constatation, dont il n'avait pas perdu le souvenir et dont il fit part au propriétaire au début des réparations, qui a été le point de départ de la découverte d'aujourd'hui.

La maison n° 54 se compose : d'un rez-de-chaussée, de deux étages et d'un pignon superposés avec léger avancement d'étage en étage sur la rue.

Le rez-de-chaussée a été trop profondément modifié pouf qu'il soit possible de se faire une idée exacte de son état ancien. Il offrait certainement deux portes l'une donnant accès à l'intérieur des appartements, l'autre ouvrant sur un couloir conduisant à un logis édifié en arrière, au fond d'une petite cour. Au-dessus de ces deux portes, s'étendant dans toute la largeur de la maison, régnait un poitrail sculpté, d'une décoration sobre et élégante formée de redents et d'un écusson central dont il ne reste plus que les contours.

Le premier étage prenait jour par quatre ouvertures juxtaposées, aux montants finement travaillés. Ces montants sont surmontés de statuettes au nombre de sept. Entre l'appui de ces fenêtres et le poitrail du rez-de-chaussée se trouve une surface plane dont la charpente apparente est disposée en croix de Saint-André.

Même arrangement au second étage, avec ces différences que les croix de Saint-André sont remplacées par des allèges verticales et que les statuettes ne sont plus qu'au nombre de trois. A droite et à gauche, au-dessus de deux d'entre elles, on aperçoit des armoiries sculptées sur des cartouches de fantaisie.

Le pignon couronné d'un faîtage aigu à double égout laisse voir, plus ou moins ornementées, toutes les pièces de charpente qui le constituent, poinçon, entrait, arbalétriers, courbes, courbes-jambettes, etc. Il se divise en trois zones distinctes ; au centre de celle du milieu s'ouvre une fenêtre, séparée en deux par un montant vertical.

Parmi les statuettes, généralement bien drapées, nous avons reconnu au premier étage, au centre et occupant la place d'honneur, saint Michel terrassant le dragon ; à droite et à gauche, la Vierge à l'enfant Jésus, saint Joseph, saint Pierre tenant les clefs. L'état de mutilation des autres personnages, la disparition absolue de leurs attributs ne permettent pas de déterminer les saints ou saintes qu'ils pouvaient représenter. Pour être complet, il y aurait à signaler encore dans cette sculpture d'ornementation quelques motifs gracieux et bien traités, mais nous avons hâte de quitter ces détails pour arriver à ce que nous considérons comme le point véritablement saillant de la découverte. Tous les intervalles existant entre les différents membres de la charpente étaient, en effet, recouverts de décorations coloriées dont les fines sculptures de l'ouvrier sur bois formaient l'élégant encadrement.

Ces décorations rouges, noires, jaunes, brunes et bleues régnaient depuis le haut jusqu'en bas. Les dessins sont assez variés ; on y remarque des étoiles dans des losanges, des roses, des feuilles de fougère, des fleurs de lys, des combinaisons géométriques empruntées à l'architecture flamboyante ; aux angles du pignon, on constate l'imitation flagrante des pavés vernissés. Les fleurs de lys occupent encore l'espace compris entre les bras des croix de Saint-André du premier étage.

Grâce à cette ornementation d'un genre tout particulier, cette haute façade parait revêtue, du rez-de-chaussée jusqu'au toit, de carreaux, vernissés ou faïencés. Il n'en est pourtant pas ainsi. A Caen, le décorateur n'avait pas à sa disposition les brillantes céramiques qui, dans des conditions analogues, furent employées à Dieppe et à Beauvais ; mais il y a suppléé et il est arrivé à un effet similaire par un procédé plus simple et plus économique. Il a rempli de couches profondes de plâtre les interstices de la bâtisse en bois ; il a gravé ensuite en creux sur ce plâtre humide les dessins qu'il voulait représenter, et il a rempli ces creux de pâtes ou de mastics de diverses couleurs. Grâce à la bonne qualité des matières employées et à leur habile manipulation, l'adhérence a été complète et ces incrustations, d'une profondeur d'environ un centimètre, ont opposé à l'action du temps une solidité indestructible. Les rouges et les noirs, dans la composition desquels entrent le charbon et la tuile pilés, ont conservé leurs nuances primitives ; moins heureux, les bruns, les verts et les jaunes ont pris des teintes ternes et passées sous l'action de l'air. Jusqu'à la hauteur du premier étage, les décorations présentaient une surface plane et absolument lisse ; elle était rugueuse et comme granulée dans toute l'étendue du pignon.

La planche que je donne en tête de ce travail, d'après un dessin fort exact de mon neveu Georges de Beaurepaire, permet de se rendre compte de l'effet obtenu par ce procédé.

L'originalité de cette ornementation polychromée, dont on pourrait citer quelques essais rudimentaires dans le département de la Manche, mais dont nous ne connaissons dans notre région aucune application sur une pareille échelle, donne, ce nous semble, quelque intérêt à l'histoire de la maison elle-même. Grâce à l'obligeance de M. Bouet, nous avons pu à loisir étudier les titres de propriété et nous en avons tiré quelques renseignements qui, en dehors de leur valeur intrinsèque, nous permettent de préciser l'origine et la date approximative de la construction.

En 1432, le terrain sur lequel la maison n° 54 devait être élevée plus tard appartenait aux sieurs Abbé, Prieur et Religieux de l'abbaye de Saint-Martin de Mondaye, qui le fieffèrent à perpétuité à Guillaume Turgis et à sa femme, moyennant, au profit de l'abbaye, le service d'une rente foncière annuelle de cinq boisseaux de froment, mesure de Bayeux. Le contrat de fieffe, devant Thomas Oger, tabellion à Bayeux, est à la date du 24 janvier.

Cette rente, transportée aux hospices civils de la ville de Bayeux, par l'effet des lois révolutionnaires, grevait encore l'immeuble au commencement de ce siècle, car nous la voyons énoncée dans un bordereau hypothécaire du 3 novembre 1814.

Nous ne saurions dire combien de temps cet héritage resta entre les mains de la famille Turgis ; très probablement il dut passer assez vite dans la possession de riches bourgeois du nom de Mabrey ou Mabré, lesquels, après avoir fait fortune dans le commerce, furent anoblis en 1593.

La Chesnaye-Desbois, en nous faisant connaître les armes des Mabrey, ajoute qu'il ne peut fournir sur cette famille aucun renseignement précis.

« Mabrey, nous dit-il, c'est une famille de Normandie dont nous ne connaissons, faute de mémoire, que le nom et les armes, savoir : D'azur, au chevron d'or, accompagné de deux couronnes du même en chef et d'une merlette aussi d'or en pointe (1). »

M. du Buisson de Courson, auteur d'études nobiliaires très consciencieuses et très estimées, a bien voulu nous communiquer des extraits des Recherches de Roissy et de Chamillart, qui nous permettent d'ajouter quelques détails. Il en résulte que Henry Mabré fut anobli par charte du « mois de may 1593, registrée aux Comptes le 9 juillet, aux Aydes le 9 de novembre, sans indemnité, comme bourgeois de Caen, moyennant DC livres payées à Montfort, et CCC livres de supplément à Busnel. »

Ces indications sont exactes. L'édit du 5 août 1592 avait en effet porté création, pour la province de Normandie, de cinq personnes destinées à être anoblies. Henry Mabré fut au nombre des favorisés. Indépendamment de sa nomination comme échevin de Caen, il avait produit plusieurs provisions de l'état ou office de procureur du Roi en l'élection de Caen accordées à différents membres de sa famille.

Le fils de cet anobli, Thomas Mabré, sieur de Bavent, épousa, en 1602, Dlle Suzanne de Guerville et laissa cinq enfants, dont quatre furent prêtres ou religieux. Un seul resta dans le monde. Ce Mabré, ayant Philippe pour prénom, se maria avec Suzanne Le Mière et eut deux fils, Jean-Jacques et Magloire, qui étaient mineurs et avaient leur domicile à Bavent en 1666, lors de la Recherche de Chamillart.

Nous avons signalé précédemment, au-dessus des statuettes du second étage de la maison, la présence de deux écussons d'armoiries. Nous les reproduisons ici d'après deux dessins qu'ont bien voulu faire pour nous nos dévoués confrères MM. Joseph Douin et Costard. Ce détail d'ornementation, sur lequel tout d'abord nous n'avions pas voulu insister, a son importance. Il est temps d'y revenir.

Si l'une de ces armoiries, qui figure une licorne passante, nous est inconnue, il n'en est pas de même de la seconde ; on y distingue en effet très nettement un chevron accompagné en chef de deux couronnes ducales et en pointe d'une merlette.

Or, ce sont là les armes très caractéristiques de la famille de Mabré, telles que nous les voyons blasonnées dans Chamillart et dans La Chesnaye-Desbois. De cette constatation, il est légitime de conclure que ce logis est bien le logis patrimonial des Mabré. Mais à quelle date précise a-t-il été élevé ? La réponse à cette question nous parait également facile.

Bien que les Mabré n'aient été anoblis qu'en 1593, il est absolument impossible de placer la construction soit à cette date, soit à une date postérieure. Il faut d'abord considérer que les armes relevées sur les solives, n'étant pas timbrées, n'impliquent nullement que les Mabré fussent nobles au moment où elles ont été gravées. D'un autre côté, le caractère général de l'ornementation, sa sobriété, l'absence des médaillons et des autres motifs que l'on rencontre en si grande abondance sur les monuments de la pleine Renaissance, nous reportent à une époque plus ancienne, au règne de Louis XII et vraisemblablement aux premières années du XVIe siècle. C'est aussi la conclusion à laquelle aboutissent des renseignements et des constatations qu'il nous reste à faire connaître.

Ainsi qu'on peut le voir dans l'Histoire de la ville de Caen, depuis Philippe-Auguste jusqu’à Charles IX, par M. Pierre Carel, vers le milieu du XVIe siècle, les Mabrey, Mabray ou Mabré jouaient à Caen un certain rôle et y avaient une situation considérable. En 1535, un membre de cette famille était échevin de la ville et fut député vers l'amiral d'Annebaut pour le prier d'obtenir du Roi main-levée des deniers de la ville.

La mission réussit et fit quelque honneur au négociateur.

En 1536, lors des exercices du tir à l'arc prescrits par M. de La Meilleraye, nous rencontrons un autre personnage du même nom, Pierre Mabrey, chargé des fonctions de porte-enseigne pour le troisième canton de Caen.

Beaucoup plus tard, en 1576, on peut encore signaler Henry Mabré, sieur de Romont, qui fut échevin de la ville et qui doit être le même que le Mabré anobli en 1593.

Mais depuis la publication de son volume, M. Carel s'est livré à de nouvelles investigations et il a rencontré un autre Mabré, ayant Michel pour prénom, élevé à l'échevinat en 1509. Pour nous, ce Michel Mabré est le constructeur de la maison qui nous occupe. Son individualité s'y révèle non seulement par ses armes, mais encore par la place attribuée au saint Archange, son patron, dans la décoration. Ce détail significatif, joint à la physionomie générale de la construction, lève toutes les incertitudes.
  
La maison de la rue Saint-Pierre est le logis des Mabré ; elle a été bâtie dans les premières années du XVIe siècle par l'échevin Michel, dont elle nous offre les armes bourgeoises avec l'effigie du patron.
  
L'histoire est ici complètement d'accord avec les données archéologiques.

Au moment de leur anoblissement, les Mabré possédaient des propriétés importantes à Allemagne et à Bavent ; ils devaient bientôt transporter leur résidence habituelle dans cette dernière paroisse, en délaissant la maison qui avait été à Caen le siège de leur industrie. En 1617, en effet, Thomas, fils de Henry, escuier, sieur de Romont, demeurant en la paroisse de Bavent, la vendit à honorable homme Georges Le Sueur, sieur de La Fontayne, bourgeois de Caen, pour le prix de 9.000 livres tournois et 18 livres de pot-de-vin, somme importante pour le temps. La maison était malheureusement grevée de tant de charges que le vendeur n'eut à toucher que le pot-de-vin de 18 livres.

Au nombre des créanciers de rentes-hypothèques figure, pour une rente de 85 livres 4 sols 6 deniers, noble homme François Regnauld, sieur des Segrets, le père du poète Jean de Segrais.

A la fin du siècle, le 13 décembre 1678, Françoise Le Sueur, veuve de messire Louis de Canaye, seigneur de Branay, héritière de feu Jean Le Sueur, escuier, sieur de Buron, et de Georges Le Sueur, vendit cette même maison, avec une logette du quartier de la Foire, pour le prix de 11.300 livres, à Jean-Jacques Vicaire, sieur du Désert, marchand de Caen. L'année suivante, ce nouvel acquéreur fut condamné, par un jugement de la Vicomté du 14 février, à continuer, au profit de l'abbaye de Mondaye, le service de la rente foncière de cinq boisseaux de froment qui avait été le prix de la cession primitive de l'héritage fait au XVIe siècle aux époux Turgis.

Ce Jean-Jacques Vicaire fut le père du célèbre curé de Saint-Pierre, Pierre-Philippe Vicaire, né le 24 décembre 1689, mort le 7 avril 1775. Ce fougueux partisan des Jésuites, docteur et doyen de théologie, prieur de Septvans, vicaire général du cardinal de Fleury et auteur d'un Discours sur l'heureuse naissance du Dauphin, d'une Oraison funèbre du cardinal de Fleury, de l'Exposition de la Foi, etc., naquit dans la maison de la rue Saint-Pierre.

On nous pardonnera, nous l'espérons, les détails un peu minutieux dans lesquels nous sommes entré. Ils nous ont permis de déterminer la date approximative d'une construction élégante et originale, en même temps que le lieu de naissance d'un écrivain distingué (2).


NOTES :
(1) Dictionnaire de la Noblesse française, t. XI, p. 279. Paris, 1770.
(2) A la suite de la loi du 30 mars 9837, cette maison a été classée comme monument historique.
  

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